mercredi 18 avril 2012

J-4 Il nous appartient de faire gagner Nicolas Sarkozy

La democratie est le moins pire des régimes disait Churchill. Certes, nos institutions ne sont pas parfaites mais la démocratie a, au moins, le mérite de laisser le peuple décider de son avenir.
A quatre jours du 1er tour, l'élection n'est pas jouée même si des observateurs de la vie politique laissent croire que le Parti Socialiste a déjà remporté l'élection et que François Hollande, lui même, s'exprime déjà comme un Président virtuel de la République.

Non, l'élection n'est pas jouée. C'est le peuple qui décidera et personne ne peut voler au peuple de France cette élection. Il nous appartient de faire gagner Nicolas Sarkozy qui, à la Concorde devant plus de 100 000 personnes, s'est adressé à cette France silencieuse. 6 millions de Français n'ont d'ailleurs toujours pas décidé sur quel candidat ils porteront leur suffrage. C'est pourquoi ensemble tout devient possible pour la France forte.

Il nous appartient de faire gagner Nicolas Sarkozy parce qu'il incarne l'espoir et la réforme. L'espoir d'une France forte avec une Europe politique pour protéger les Français. La réforme d'une France où la Nation et la République sont réaffirmées pour préserver notre identité.

Il nous appartient de faire gagner Nicolas Sarkozy parce que les valeurs qui sont les notres et qui sont portées par notre candidat sont celles qui visent à permettre à chacune et chacun d'entre nous de reprendre la maîtrise de son destin.

Il nous appartient de faire gagner Nicolas Sarkozy parce que notre candidat donne tout dans cette campagne comme il a tout donné pour la France avec un language de vérité qui contraste avec certains candidats qui n'ont rien à proposer si ce n'est un antisarkozysme permanent.

C'est la France qui est en jeu, pas une France de droite, du centre ou de gauche mais la France.

Voilà pourquoi, en cette période de crise économique sans précédent, nous n'avons pas le droit de nous tromper.

Nous le peuple de France, il nous faut prendre nos responsabilités. Il nous appartient ainsi de faire gagner Nicolas Sarkozy.

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